Honoré de BALZAC: Melmoth réconcilié

Honoré de BALZAC: Melmoth réconcilié

Tombé éperdument amoureux d’une prostituée dont il entend follement faire sa maîtresse, Castanier, le caissier et homme de confiance de la maison Nucingen s’est horriblement endetté, en profitant de sa réputation d’homme intègre. Poussé au défaut de paiement, il s’apprête à escroquer la banque qui l’emploie et à fuir en Italie pour y mener la grande vie, lorsqu’un étrange personnage, faisant barrage à ses projets, lui propose un pacte singulier: vendre son âme au diable en échange de la satisfaction…

Lire la suite Lire la suite

Naguib MAHFOUZ: Karnak Café

Naguib MAHFOUZ: Karnak Café

Le Caire, années 60. Au hasard de ses déambulations le narrateur découvre un jour le Karnak café, tenu par une ancienne danseuse, Qurunfula, qui fut des années auparavant une star de la danse orientale. Devenu un fidèle du lieu, il ne tarde pas à nouer des contacts avec la petite communauté des habitués… Ceux qui passent par ici régulièrement se seront aperçu sans doute que j’ai bien du mal ces temps-ci à tenir mon blog à jour. Ce n’est pas…

Lire la suite Lire la suite

Joris-Karl HUYSMANS: Les Habitués de café

Joris-Karl HUYSMANS: Les Habitués de café

“Pour quelles raisons les habitués des cafés parisiens s’entêtent-ils à consommer dans un lieu public des alcools de qualité moindre et de prix plus élevé que ceux qu’ils pourraient savourer dans le confort de leur salon ? A quelle «hantise du lieu public» ce besoin peut-il correspondre ?On trouve dans les cafés des bavards en mal d’interlocuteurs aussi bien que des taciturnes en quête de tranquillité; des joueurs, des ivrognes, des filous – et invariablement, quelques phénomènes.” (4è de couverture)…

Lire la suite Lire la suite

Le mystère du café

Le mystère du café

“Certains breuvages présentent cette particularité qu’ils perdent leur saveur, leur goût, leur raison d’être, quand on boit autre part que dans les cafés. Chez un ami, chez soi, ils deviennent apocryphes, comme grossiers, presque choquants. Tels les apéritifs. Tout homme – s’il n’est alcoolique – comprend qu’une absinthe, préparée dans une salle à manger, est sans plaisir pour la bouche, malséante et vide. Enlevés de leur nécessaire milieu, les dérivés de l’absinthe et de l’orange, les vermouths et les bitters…

Lire la suite Lire la suite

Honoré de BALZAC: Pierre Grassou

Honoré de BALZAC: Pierre Grassou

Pierre Grassou, dit Fougères, est un peintre mediocre qui, à force de patience et d’un travail acharné, a su réussir à la fin de la Restauration et sous la Monarchie de juillet, un petit talent, barbouilleur de toiles qui ont fait leur effet, jusqu’à la Cour, inspirées des peintres anciens. Pendant des années, Grassou a survécu en revendant ses toiles à un prix modique, à un marchand malhonnête, Elias Magus, qui a su mettre à profit son talent imité des…

Lire la suite Lire la suite

Honoré de BALZAC: L’Élixir de longue vie

Honoré de BALZAC: L’Élixir de longue vie

Le jeune Don Juan Belvidéro est un joyeux jouisseur de Ferrare. Au cours d’une nuit de débauche, un serviteur vient annoncer à don Juan que son père se meurt. Le jeune homme se rend auprès du vieillard, qui lui annonce le fruit de vingt longues années d’études: il a découvert un élixir de longue vie dont il suffira au fils d’enduire le corps du père après sa mort pour le ressusciter… Avec cette nouvelle écrite dans le style des récits…

Lire la suite Lire la suite

Ivan TOURGUÉNIEV: Moumou

Ivan TOURGUÉNIEV: Moumou

“Tout au bout de Moscou, dans une maison grise, agrémentée d’une colonnade blanche” vit une vieille femme de haut rang. Ne sachant trop quoi faire de ses jours et de ses nuits, elle se comporte de manière tyrannique à l’égard du nombreux personnel qui la sert de manière servile. Le portier Gérasime, un grand gaillard sourd-muet ramené de la campagne, dont tout le monde se moque un peu quand il a le dos tourné, n’est pas le dernier à la…

Lire la suite Lire la suite

Ivan TOURGUÉNIEV: Le Journal d’un homme de trop

Ivan TOURGUÉNIEV: Le Journal d’un homme de trop

“Le médecin vient de partir. Enfin j’ai réussi à en tirer quelque chose! Malgré ses finasseries, il n’a pu s’empêcher de se trahir, à la fin! Oui, je mourrai bientôt, très bientôt. Les rivières vont dégeler et moi je m’en irai…”. Au seuil de la mort, un homme se souvient. Mais à quoi bon écrire sur soi, quand on sait qu’on va mourir ? Au fil des jours qui lui restent à vivre, le narrateur cherche un sujet, sa plume…

Lire la suite Lire la suite