Onde serpentine
Debout sur le pont de pierre, je me suis penché au-dessus de l’eau noire qui se faufilait à travers les pierres. D’habitude, c’est un joli cours d’eau, peu profond, trois pouces à peine au-dessus de la cheville, qu’on ne se lasse pas de regarder, avec ses herbes qui ondulent mollement, Lire la suite…