Jens Christian GRØNDAHL: Piazza Bucarest
« Un matin de mars, j’ai pris la route du nord afin de revoir Scott une dernière fois avant qu’il ne reparte en Amérique. » Le résumé pourrait s’en tenir à cette première phrase du roman, tellement le fil de la narration est ténu, l’histoire tient à si peu de choses: un romancier, narrateur de cette histoire, vient revoir un homme, Scott, un ancien photographe de presse, qui fut le compagnon de sa mère et est resté pour lui depuis une sorte de père spirituel; il est question d’une lettre, envoyée à Lire la suite…