Archives de
Month: mars 2009

Chantal HOURELLOU-LAFARGE, Monique SEGRÉ: Sociologie de la lecture

Chantal HOURELLOU-LAFARGE, Monique SEGRÉ: Sociologie de la lecture

Ce petit manuel de la collection Repères est un résumé des travaux de sociologie sur la question de la lecture. On y trouve notamment des synthèses sur l’histoire de l’écriture et des techniques de fabrication du livre; les rapports de la lecture et du pouvoir au regard en particulier de deux questions capitales: l’émancipation des hommes par le livre et la censure; l’apprentissage scolaire de la lecture; la répartition quantitative des lecteurs et des pratiques de lecture; l’évolution des lieux…

Lire la suite Lire la suite

Henry JAMES: Un jour de rêve

Henry JAMES: Un jour de rêve

Jeune femme mondaine qui s’est lassée du monde, Adela Moore a rejoint son frère, un savant spécialiste de minéralogie, installé à la campagne. Veillant à la tenue de la maison, Adela se révèle une femme discrète: elle invite peu et semble jouir de cette vie simple, baignée par la vue d’admirables paysages et les visites du pasteur, qui n’est pas insensible à son charme. Un jour où Mr Moore s’est absenté pour participer à un colloque, un homme se présente:…

Lire la suite Lire la suite

Henry JAMES: Un peintre paysagiste

Henry JAMES: Un peintre paysagiste

Après la révélation que celle qu’il courtisait n’était qu’une jeune femme intéressée, Locksley, jeune new-yorkais fortuné, une fois rompues ses fiançailles, s’est retiré du monde dans le petit port de Chowderville pour s’y adonner à sa passion de la peinture de paysages. Hébergé par un vieux marin et sa fille, Mr et Miss Quarterman, le jeune homme se fait passer pour pauvre et goûte auprès d’eux aux joies d’un mode de vie frugal et d’une vie consacrée au travail artistique….

Lire la suite Lire la suite

Henry JAMES: Histoire d’une année

Henry JAMES: Histoire d’une année

L’action se déroule au début des années 1860, au nord des Etats-Unis, déchirés par la guerre de Sécession. La veille de partir sur le front, le lieutenant Ford demande la jeune pupille de sa mère en mariage, Elisabeth, une jeune fille aussi superficielle que jolie. C’est le temps des espérances. Ford rêve de l’unité de la patrie retrouvée, à quoi conduit le désordre temporaire de la guerre. Pendant plusieurs mois Lizzie, prenant son rôle à coeur, aime ressasser la promesse…

Lire la suite Lire la suite

Henry JAMES: Une tragédie de l’erreur

Henry JAMES: Une tragédie de l’erreur

Lorsque Hortense apprend que son mari s’apprête à rentrer d’Amérique, son monde vacille. C’est que depuis tout ce temps la jeune normande a trouvé dans les bras d’un autre de quoi vivre sa vie. Que ferait-on à sa place? Commence alors un joli récit où la faute semble avoir moins d’importance que la révélation de la faute et où l’on envisage des moyens radicaux d’aménager l’adultère. J’ai trouvé ce petit récit dans le premier volume des Nouvelles complètes de James…

Lire la suite Lire la suite

relooking

relooking

Finies les bibliothèques du XVIIIème et le papier art-and-craft du fond d’écran. Un petit relooking pour ce blog. Envie d’espace et de jardins. En haut: un joli pont de fer forgé dans un des parcs de Kassel, en Allemagne (la photo date de la dernière Documenta). En fond d’écran, une petite route qui s’en allait à une heure de là, le long de la Weser, non loin du monastère baroque de Corvey. Si vous passez par ici, dites moi si…

Lire la suite Lire la suite

Le goût du café

Le goût du café

Par le moyen de recueils de textes d’écrivains, la collection « Le goût de… » se plait d’ordinaire à aborder le vocabulaire sensuel d’ une ville ou d’un pays, en commençant justement par le goût, les odeurs, l’exploration d’un imaginaire collectif. Il en est sur presque toutes les destinations, de l’Abyssinie à Vienne, de Bali à Genève, de la Loire à Shangai. Ce sont des petites livres très bien faits, une sorte d’introduction au voyage, que j’aime à collectionner au gré de…

Lire la suite Lire la suite

Bruno FOUCART: Courbet

Bruno FOUCART: Courbet

Courbet réaliste? L’histoire de l’art du XIXème siècle aime à abuser de ces raccourcis simplificateurs. Et le public, conforté par l’organisation de nos musées nationaux (pour se faire par exemple une idée de l’extraordinaire effervescence artistique du XIXème, il faudrait passer plusieurs journées à courir du Louvre, qui est d’abord un musée des Beaux-arts, organisé par écoles, à Orsay, qui privilégie la présentation historique et n’a guère le soucis d’établir des ponts entre des artistes qu’il isole dans des salles…

Lire la suite Lire la suite