Pierre BOULLE: La Planète des singes
Un couple de riches oisifs voyageant dans l’espace découvre, flottant dans le vide, une étrange bouteille contenant un manuscrit. Il s’agit du récit d’Ulysse Mérou, journaliste terrien embarqué dans une expédition interstellaire vers l’étoile Bételgeuse. Lire la suite…
6 commentaires
canthilde · 30 novembre -0001 à 0 h 00 min
Lecture terminée avec enthousiasme ! C’est vraiment un livre superbe, mêlant musique virtuose et sentimentalisme, très romantique mais ça vaut le coup de jouer le jeu.
Cléanthe · 30 novembre -0001 à 0 h 00 min
Je suis très heureux de ton opinion sur ce livre. Je ne sais pas si tu as lu la Comtesse de Rudostadt. L’éclairage est différent. Mais cela vaut le coup également.
Lou · 30 novembre -0001 à 0 h 00 min
Je reviens sur ce blog pour revenir sur les notes que j’avais déjà parcourues plus rapidement. Je pense que ce livre-ci sera sans doute une de mes toutes prochaines lectures. J’aurai plus de temps à partir d’avril… je note donc et me réserve ce petit plaisir pour le printemps. Merci pour ces excellents conseils:)
canthilde · 30 novembre -0001 à 0 h 00 min
Je compte le lire très bientôt, alors j’ai évité le résumé ! Je suis attirée par l’époque, le thème de la musique, les aventures d’une femme talentueuses… J’espère y trouver tout ça !
Claire jane · 30 novembre -0001 à 0 h 00 min
Je ne connais pas ce roman, il est tentant.
Cléanthe · 30 novembre -0001 à 0 h 00 min
On ne lit pas assez George Sand. Et Consuelo vraiment permet de prendre la mesure du grand écrivain qu’est George Sand. Le second volume est un peu plus surprenant (résumé et commentaire d’ici quelques jours). Sauf si on est mélomane, peut-être. Mais ce roman d’aventures est d’abord, n’est-ce pas, un roman sur la musique. Il règne sur les deux cent dernières pages du roman, après les éclats baroques qui accompagnent le voyage de Consuelo, ou sa découverte des chants populaires de l’Europe centrale, une clarté, teintée de sentiment, quelque chose de mozartien. On peut aussi lire l’oeuvre plus simplement comme un roman d’aventures, comme un roman d’amour, ou comme un magnifique portrait de femme. Et comme George Sand sait remarquablement raconter les histoires, ces quelques mille trois cent pages qui constituent les deux volumes des aventures de Consuelo sont un vrai plaisir de lecture.