Léa WIAZEMSKY: Petit éloge des cafés
On tourne la première page, et aussitôt reviennent l’odeur du café brûlant, le brouhaha des conversations qui se chevauchent, la lumière oblique d’un après-midi d’hiver, la rumeur d’un percolateur, et ce sentiment qu’on est ici chez soi plus qu’ailleurs. Petit éloge des cafés, de Léa Wiazemsky, appartient à cette catégorie de textes qui réveillent une mémoire sensible, presque tactile: celle des lieux où l’on a lu, écrit, attendu, aimé, pleuré — et où l’on a surtout appris à regarder les autres. Des lieux qui sont ceux d’une vie… Grand amateur Lire la suite








