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Month: février 2008

George SAND: La Comtesse de Rudolstadt

George SAND: La Comtesse de Rudolstadt

On retrouve Consuelo à Berlin, courtisée par Frédéric II et mêlée à ses intrigues politiques. Mais de curieux phénomènes se produisent… Consuelo croit apercevoir le spectre du comte Albert. A Spandau, où le roi qui la soupçonne de comploter contre lui a ordonné qu’on l’enferme, la jeune femme se sent étrangement surveillée. Et quels sont ces mystérieux amis, dirigés par un chevalier masqué, Livérani? Où prétendent-ils conduire Consuelo? Qu’est-ce que cette prison qu’ils lui proposent comme asile en échange de…

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George SAND: Consuelo

George SAND: Consuelo

Consuelo est une pauvre orpheline espagnole dotée d’une voix magnifique. Elle est l’élève, à Venise, du Porpora, l’un des maîtres de la musique concertante. C’est là qu’elle fait ses débuts, aux côtés d’Anzoleto, son fiancé. Mais le succès n’est pas toujours heureux. Avec lui s’en va l’insouciance de la jeunesse. Consuelo est courtisée, mais résiste aux avances de son séducteur. Blessée par les infidélités de son fiancé, la jeune femme s’enfuit. Un étonnant voyage commence alors  qui conduira Consuelo au…

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Alexandre DUMAS: Olympe de Clèves

Alexandre DUMAS: Olympe de Clèves

Avignon, mai 1727: Bannière, novice chez les jésuites, passionné de théâtre, aperçoit l’actrice Olympe de Clèves par la fenêtre de son couvent. C’est le coup de foudre. Le jeune homme s’enfuit. Il se rend au théâtre. Et se retrouve aussitôt sur les planches, à remplacer Champmeslé, acteur pieux honteux d’être comédien, qui vole ses habits à Bannière et part se faire jésuite à sa place! Le jeune homme est contraint de fuir. Mais il n’est pas seul dans sa fuite….

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Cynthia OZICK: Le Châle

Cynthia OZICK: Le Châle

Je ne sais pas comment je pourrais résumer ce livre. Je ne crois pas qu’il doive être résumé. Je dis même qu’il ne le doit pas. Quand un auteur choisit d’écrire sur la Shoah (écrit-on sur la Shoah?) d’une écriture si dense (92 pages), sans concessions, même pas la concession de la beauté de la langue, tellement les phrases parfois, d’une clarté remarquable à l’esprit, restent rappeuses à l’oreille, je pense que c’est une mauvaise action de vouloir le résumer….

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Cynthia OZICK: Le Messie de Stockholm

Cynthia OZICK: Le Messie de Stockholm

Lars est un critique littéraire qui tient dans un journal de Stockholm la rubrique du lundi. Autant dire que personne ne s’intéresse vraiment à cet obscur spécialiste, fin connaisseur des littératures d’Europe centrale, passionné sans compromission. Un parmi d’autres dans cette ville qui a son temple, la bibliothèque de l’Académie, conservatoire de toutes les langues, de tous les livres. Mais Lars a une passion secrète, une mission, une idée fixe: il croit être le fils du grand écrivain Bruno Schulz,…

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Challenge ABC 2008

Challenge ABC 2008

Tout lecteur aime faire des listes de livres à lire. Ses tiroirs sont pleins de petits bouts de papiers sur lesquels il se plait à noter le nom des prochains élus, qu’il oublie aussitôt pour une nouvelle liste, de nouveaux noms, de nouveaux livres. Lorsque j’avais quinze ans, je pensais qu’on pouvait se laisser guider par le seul plaisir dans ses lectures. A dix-sept ans, avec Sartre, je me moquais de l’Autodidacte, dans La Nausée, qui entreprend de lire tous…

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Cynthia OZICK: Un Monde vacillant

Cynthia OZICK: Un Monde vacillant

Rose Meadows a dix-huit ans, en 1935, quand elle entre au service des Mitwisser. La  jeune fille vient de perdre son père. Elle a du quitter la demeure d’un cousin éloigné (Bertram) qui avait pris en charge les frais de son éducation, mais qui s’est mis en ménage depuis avec Ninel, une militante communiste. Juifs berlinois, les Mitwisser sont des réfugiés qui ont fui le nazisme avant d’échouer aux Etats-Unis. Il y a là le père: le professeur Mitwisser, spécialiste…

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Patrice SALSA: La Signora Wilson

Patrice SALSA: La Signora Wilson

Je lis peu de littérature contemporaine. En tout cas pas de romans contemporains français. Je ne veux pas rajouter mon couplet sur la médiocrité de ce qui se publie aujourd’hui en France.  Je trouve ce que j’aime en Italie (Magris), en Allemagne (Grass), en Autriche (Jelinek), aux Etats-Unis (Ozik, Fante), en Hongrie (Kertesz), en Espagne (Perez Reverte) ou en Turquie (Pamuk), mais pas en France. C’est une affaire de goût. Disons plutôt de regard, de façon de regarder le monde….

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